Aimer, c'est partager des mots, des regards, des espoirs, des craintes. L'Amour n'est jamais contrainte. Il est joie, liberté, force. L'Amour est emportement et enthousiasme. L'Amour est risque. N'aiment et ne sont pas aimés ceux qui veulent épargner, économiser leurs sentiments. L'Amour est générosité, l'amour est prodigalité, l'amour est échange. Qui donne beaucoup reçoit beaucoup en fin de compte. Car nous possédons ce que nous donnons. Aimer ce n'est pas mutiler l'autre, le dominer, mais l'accompagner dans sa course, l'aider. Savoir accepter l'autre tel qu'il est. Etre joyeux du bonheur qu'il trouve. L'Aimer dans sa totalité : pour ce qu'il est, laideur et beauté, défauts et qualités. Voilà les conditions de l'Amour. Car l'Amour est une vertu d'indulgence, de pardon et de respect de l'autre
Commentaire de Neela (02/04/2006 00:04) :
Kikou,
C'est toujours aussi beau. Je suis passée te souhaiter une bonne
soirée et te dire que moi aussi je vous ai rejoints ici, c cool et je peux
laisser des comms ce qui est plus possible sur bloguez (dumoins chez
quelques personnes). Gros bisous.
Fée des bétises
Commentaire de barbara et eric (02/04/2006 00:59) :
Bonjour…Ta gentillesse, ta joie de vivre et ta générosité…Font de toi un(e)
ami(e) très cher(e) à mon coeur….C'est pourquoi je t'envoie ces
jolies fleurs…pour te dire combien ton amitié m'est précieuse....Merci
d'être toi...Merci d'être là!!! Nous te souhaitent une journée
remplie de paix, d’amour, de bonheur et de la joie, merci pour ton amitié
Tu étais un père exemplaire, juste et avec beaucoup de patience. Tu trouvais toujours du temps pour passer avec moi. Sévère juste ce qu'il faut, j'avais beaucoup de respect pour toi. Tu étais un père sur qui on pouvait compter. Tu ne critiquais jamais mes décisions, tu étais bon conseil pour moi. Lorsque j'avais besoin de toi, tu étais toujours présent, jamais tu ne refusais de m'aider. Lorsque j'avais des problèmes, tu savais écouter et me remonter le moral. Je voulais que tu soi fière de moi, je ne sais si j'y suis arrivée. Ma vie n'est pas une réussite, heureusement j'ai deux beaux enfants, et je t'avais toi qui croyais en moi. Tu étais un bon papy et tu nous manques beaucoup. Un être exceptionnel est partis et il laisse en grand vide dans ma vie, mais tu remplis entièrement mon coeur. Mais tu n'est pas partis en vain, je trouve la force de continuer rien qu'en pensant aux conseils qui m'ont toujours été prodigués par toi. J'aimais me retrouver avec toi, que se soi pour un travail ou bien en promenade ou nous avions beaucoup de complicité. Souvent on se comprenait sans se parler. Papa tu me manque, je crois que je ne t'es jamais dit combien je t'aimais, et je t'aime encore. Tu resteras éternellement dans mon coeur.
Commentaire de tendresseeternelle (29/03/2006 11:32) :
salut ma poule
j'espere que tu vas bien
moi impossible encore de poster sur bloguez
donc excuse moi mais j'en ai marre d'etre coupée a chaques fois
!!!
mais je pense tres fort a toi vas tu mieux???
repose toi quand meme fait attention a ta santé on en a qu'une
gros bisous
Commentaire de barbara et eric (30/03/2006 00:24) :
Bonjour…Tel la rose belle et fragile…L’Amitié doit être nourrie tous les
jours…La notre est tissée de tant de fils…Que j’espère elle dura
toujours…Rien ne pourra entraver …Une « Amitié » bien enracinée…je pense à
toi…Nous te souhaitent une journée remplie de paix, d’amour, de bonheur
et de la joie, merci pour ton amitié
je serai absente des le 1er avril pour demenagement,
mon blog sera ouvert et traité par ma soeur, je reviendrai dès que
j'aurai tout rangé dans ma novuelle habitation et qu'internet
sera mis. Environ Une semaine loll
Commentaire de nan (30/03/2006 10:33) :
Très beau texte qui me va droit au coeur.Mon papa est décédé il y a peut et
en te lisant j'ai les larmes au yeux
Commentaire de manou74 (30/03/2006 10:55) :
je viens te faire un ptit coucou pour découvrir ton blog, je te souhaite
une bonne journée,
J'ai perdu mon papa à l'âge de 7ans mais je
trouve bien de témoigner cette formule de respect enver les parents et de
continuer à leur dire merci car pour dire merci il y a pas d'âge.
bisou et bonne journée.
Si je pouvais te dire L'amour que j'ai pour toi Je te verrais sourire Car tu n'y croirais pas.
Tu ne pourrais vouloir Qu'un amour aussi grand Embrase ton histoire Et celle d'un enfant.
Et pourtant je ressens Sa force et son ardeur Qui font battre mon sang Puis déborder mon coeur.
Ah ! Maîtresse cruelle Qui ne veut regarder Mon lancinant appel Pour être interrogé
Pourquoi me souris-tu Quand il faut te quitter Du regard entendu De ceux qui ont pitié ?
Commentaire de barbara et eric (29/03/2006 02:15) :
.Bonjour……
Simplement pour te dire… que je pense a toi… les jours passent si vite
parfois… on est préoccupé ou distraite par une foule de choses…et pourtant
je voudrais que tu sache qu’il ne se passe pas un seul jour sans que je
pense a toi !!! Ajourd’hui je voulais te dire et te souhaiter
De tout cœur une bonne journée remplie de paix d’amour, le bonheur, la
joie ….merci pour ton amitié….
bonne journée a toi je
découvre ce uperbe blog je pase tot car je faisde la course le matin passe
mevoir si ca te dit je reviendrai bise claire du canada beau travail
Il y a des amours plus grands que le nôtre Des orchidées éclosent par le rêve Seulement, en dehors de l'armure pesante Celle de la réalité Manuscrite par des mains et des lèvres
Ton corps sous des allures de religion me donne la foi de t'aimer.
L'éclair frappa l'homme de plein coeur C'était un coup de foudre ?
À mon air enjoué, mon rire sur la lèvre, Vous me croyez heureux, doux, azyme et sans fièvre, Vivant, au jour le jour, sans nulle ambition, Ignorant le remords, vierge d'affliction ; À travers les parois d'une haute poitrine, Voit-on le coeur qui sèche et le feu qui le mine ? Dans une lampe sourde on ne saurait puiser Il faut, comme le coeur, l'ouvrir ou la briser.
Aux bourreaux, pauvre André, quand tu portais ta tête, De rage tu frappais ton front sur la charrette, N'ayant pas assez fait pour l'immortalité, Pour ton pays, sa gloire et pour sa liberté. Que de fois, sur le roc qui borde cette vie, Ai-je frappé du pied, heurté du front d'envie, Criant contre le ciel mes longs tourments soufferts Je sentais ma puissance, et je sentais des fers !
Puissance,... fers,... quoi donc ? - rien, encore un poète Qui ferait du divin, mais sa muse est muette, Sa puissance est aux fers. - Allons ! on ne croit plus, En ce siècle voyant, qu'aux talents révolus. Travaille, on ne croit plus aux futures merveilles. - Travaille !... Eh ! le besoin qui me hurle aux oreilles, Étouffant tout penser qui se dresse en mon sein ! Aux accords de mon luth que répondre ?... j'ai faim !...